10 novembre 2016
Sous la grisaille, le printemps...
Il y a de cela fort, fort longtemps, d'un longtemps qu'on n'ose plus compter sur les doigts parce qu'on n'a pas assez de doigts, Olivier POG m'avait envoyé un texte, puis un deuxième et puis plein d'autres encore pour que je puisse choisir (il est sympa...